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13 octobre 2007 6 13 /10 /octobre /2007 19:18

Le nom de Moïse est déjà tronqué. Il signifie "né de" ou "issu de". Il manque donc le nom de son géniteur. Et cela ne doit pas être un hasard. Il y a eu une volonté manifeste de dissimuler la véritable origine du personnage dont l'histoire a été inventée et copiée sur celle de Sargon. Nous poserons sous peu un autre livre qui s'attachera à démontrer le véritable sens des meurtres de masse qui eurent lieu dans le désert. Moïse n'est donc pas sortie les mains vides d'Egypte comme nous le disions ICI... il est même parti comme "un voleur" en emportant après avoir tué l'Egyptien -Sekenenrê ?- les deux piliers et la cérémonie de résurrection conjointe de Sekenenré et il en aurait fait le secret de la maison royale d’Israël. Il est question ici aussi du véritable symbolisme de l'Etoile dite de David, deux pyramides représentant l'une le messie sacerdotal, l'autre le messie royal En tant que tel, c’est le véritable signe de Jésus. Le signe des Israélites étant la croix de leur Dieu ou Tau. Beaucoup de choses intéressantes dans cette avant-dernière partie...

NOTES SUR LE LIVRE : « LA CLE D’HIRAM »

aux éditions Dervy

de Chistopher Knight et Robert Lomas

2ème partie

1ère partie

 

 

LA BIBLE

Le livre de la Genèse fut transcrit pour la première fois il y a environ 2700 ans, bien avant l‘époque du roi Salomon, les étymologistes ont démontré que l’histoire du jardin d’Eden est celle de Sumer.

En outre, des ville comme Ur, Larsa et Haram, mentionnées dans la genèse, se trouvaient réellement à Sumer. La preuve d’une inondation majeure, vieille de 6000 ans environ, a été trouvée autour d’Ur.

MOÏSE

Le nom Moïse (Moses ou Moshé sous forme hébraïque et Musa sous forme arabe) devrait signifier selon la Bible catholique romaine de Douai « sauvé des eaux », alors que ce terme signifie simplement en égyptien « né de ». Normalement, il réclamait un autre nom en préfixe comme dans Thoutmosis (ou Thoutmose) « né de Thot », Ramsès « né de Râ » ou Amenmosis « né d’Amen ». Pour information, MacDonald signifie « fils de Donald ». Il est possible que le nom complet de Moïse est été « né du Nil » auquel cas il se serait agi d’Hapymosis.

D’après le livre de l’Exode 1,22, le pharaon donna l’ordre de jeter dans le Nil tous les nouveaux nés israélites mâles. Il est pratiquement impossible d'imaginer qu’il s’agisse là d’un événement historique car un décret aussi barbare aurait été totalement en contradiction avec le concept de Ma’at si cher aux égyptiens. L’histoire de la naissance de Moïse a certainement été inventée à partir de celle de Sargon (3ème millénaire avant J.C.) prince sémite fondateur de la dynastie d’Akkad. Elle aurait été créée au VI ième siècle avant notre ère pour adapter à la naissance de la nation juive le vieux thème d’une création émergeant des eaux. Ce fut aussi une excellente manière d’expliquer rationnellement comment un général de l’armée égyptienne membre de la famille royale d’Egypte devient le père fondateur du peuple juif.

La lecture attentive et objective de l’histoire de l’exode est un déconcertant catalogue de pratiques de démonologie primitive, de trahisons, de meurtres de masse, de viols, de vandalisme et de vols en tous genres. L’histoire de Moïse commence par un meurtre. Un jour, il aperçoit un égyptien en train de frapper un Habiru. Après avoir regardé autour de lui, et s’être assuré que personne ne l’observait, il tua l’égyptien : c’était le premier de dizaines de milliers de meurtres dont cet ex soldat allait se rendre responsable. Devenu un homme recherché, il s’enfuit vers l’Est et le Sinaï, là il fut accueilli par les Madiânites (ou Quénites) et épousa la fille du roi Cipporha.

Moïse aurait emporté en Israël les deux piliers et la cérémonie de résurrection conjointe de Sekenenré taa et il en aurait fait le secret de la maison royale d’Israël.

L’assomption de Moïse est un texte Qumrânien qui donne instruction à la communauté de dissimuler ses manuscrits les plus précieux dans ce lieu précis.

YAHVE

Yahvé n’était pas un doux bienfaiteur, c’est un dieu de la tempête, un dieu de guerre des tribus Madiânites dont le symbole était un motif en forme de crucifix qu’ils arboraient sur leur front. Plus tard, on appela ce signe la marque de Yahvé. Si l’on prend littéralement les paroles de l'ancien testament, les Juifs et leur Dieu étaient des êtres tout à fait iniques, malfaisants. Aucune justification surnaturelle ne peut excuser le massacre d’autant d'habitants originels de Canaan qu’évoque l’ancien testament.

Craignant pour sa liberté, le dieu madiânite refusa de répondre à Moïse sur la question de son nom. En effet, pour un égyptien, connaître le nom d’une divinité c’est obtenir un pouvoir sur elle car les dieux ne sont pas toujours supérieurs aux humains. Le livre de l’exode nous dit que la réponse du dieu à la question portant sur son nom fut « ehyeh asher ehyeh », cette réponse est généralement traduite par « je suis celui que je suis » et pas « je suis celui qui est ». On comprend que cette réponse n’en est pas une. Les noms de Yahvé (Yahweh) ou Jehovah sont tous deux des descriptions hébraïques de dieu (Yhwh, la langue hébraïque n’ayant pas de voyelle). D’après la bible, Moïse retourna finalement en Egypte pour libérer de l’esclavage les communautés d’asiatiques que les égyptiens désignaient collectivement sous le nom d’Habiru. Il aurait soit disant utilisé les pouvoirs de son nouveau Djinn/Dieu de la tempête pour amener misère et mort sur les infortunés égyptiens.

NAASENES

De « Naas » qui signifie serpent en hébreu, ils formaient un courant gnostique âprement combattu par les pères de l’Eglise. Irénée et Epiphane en parlent : « Dieu accoucha du penser puis s’unit au penser et accoucha de la première femme, à savoir l’Esprit Sain. Mais de la femme s’écoula une rosée appelée Sophie qui se précipita dans les eaux et pris corps, Sophie eu un fils qui en engendra 6 autres, l’un d’eux Ialdabaoth était mauvais et c’est lui qui créa la Terre, c’est lui notre Dieu biblique et le serpent s’étant révolté contre lui, les naassènes lui reconnaissaient une valeur positive. Les hommes de cette secte prétendaient que leur croyance remontait à Jacques, le frère de Jésus, par Mariamne.

Le terme naassenien est une autre forme de nazôréen, le nom adopté par le fidèles originels de Jésus qui constituaient l’église de Jérusalem, il est d'ailleurs étonnant qu’on ait traduit Jésus de Nazareth à une époque où la ville de Nazareth n’existait pas encore. Le véritable qualificatif était bienévidemment Jésus le nazôréen.

 

LE TEMPLE DU ROI SALOMON

 

Les Juifs n’ayant pas de tradition architecturale, le temple de Jérusalem fut construit par des artisans empruntés à Hiram, le roi Phénicien de Tyr. Le temple ne fut pas construit pour être visité par des hommes : il était littéralement la maison de Dieu. Il fut construit en pierres mais l'intérieur était complètement recouvert de cèdre apporté de Tyr.

La caractéristique particulière du temple était la quantité d’or qui recouvrait le sol, les murs et le plafond au milieu de gravures de chérubins et de fleurs épanouies. L’intérieur faisait 60 coudées de long et 20 de large. Une paroi, formée par un double porte rideau, divisait l’intérieur en 2/3 1/3, le dernier 1/3 formait un cube de 30 pieds. C’était l’Oracle de l’ancien testament également appelé Saint des saints et connu dans le rituel maçonnique comme « le sanctum sanctorum ». Il était totalement vide à l’exception d’un coffre rectangulaire de bois de Sethim (acacia) de 4 pieds de long sur 2 pieds de large et 2 de haut, placé exactement au centre, c’était l’arche d’alliance qui ne renfermait que 3 choses : 2 tablettes de pierre portant les 10 commandements et le dieu Yahvé lui même. A son sommet, se trouvait une épaisse couche d’or et 2 chérubins de bois de style égyptien recouverts d’or avec les ailes déployées qui gardaient leur précieux contenu.

L’histoire nous a appris qu’il avait existé 3 temples de pierre sur le site dont le premier est le temple originel construit par Salomon, un petit édifice de type Sumérien.

Salomon, vers la fin de son règne, se détourna complètement de Yahvé pour ne plus vénérer que d’autres dieux. Plus tard cette péripétie fut rationalisée après coup par les rédacteurs de la Bible : ils expliquèrent que ce comportement coupable de Salomon ne fut pas puni par Yahvé eut égard pour son père David.

JESUS CRIST

Pour comprendre la naissance du Christ, voici quelques anciennes figures considérées comme des dieux :

- Gautama Bouddha : né d’une vierge maya 600 ans avant J.C.

- Dionysos : dieu grec né d’une vierge dans une étable qui transforma l’eau en vin, antérieur à J.C.

- Quirinus : un sauveur romain primitif né d’une vierge

- Attis : né d’une vierge Nama en Phrygie en 200 avant J.C.

- Indra : né d’une vierge au Tibet vers 700 avant J.C.

- Adonis : dieu Babylonien né d’une vierge Ishtar

- Krishna : divinité indoue née d’une vierge Devaki vers 200 avant J.C.

- Zoroastre : né d’une vierge vers 1500-1200 avant J.C., forme grecque de Zarathoustra.

- Mithra : né d’une vierge dans une étable le 25 décembre vers 600 avant notre ère, sa résurrection était célébrée à Pâques. Son culte est particulièrement embarrassant pour les chrétiens qui ne souscrivent pas à la théorie du voyage de Satan dans le temps. Le Mithraïsme est une ramification Syrienne d’un culte perse plus ancien, celui de Zoroastre, celui-ci fut introduit dans le monde romain vers 67 avant J.C. sa doctrine incluait le baptême, un repas sacramentel, une croyance en l’immortalité, un Dieu sauveur qui mourrait et ressuscitait pour servir de médiateur entre l'homme et Dieu, un jugement dernier et enfin un Paradis et un Enfer.

Le titre « Christ » est une traduction grecque du titre juif de messie (messiah) auquel on donnait le sens de sauveur en dépit du fait que le terme hébreu araméen signifiait simplement « celui qui deviendra le roi légitime des juifs ». Le fait que le mot messie ne soit pas du tout utilisé dans le nouveau testament ne peut s’expliquer que d’une seule manière : les traducteurs ont utilisé le mot grec Christ (christos) partout où le mot hébreu messie apparaissait dans les textes antérieurs. Il faut insister sur le fait que les Juifs n’attendaient pas un Dieu ou un sauveur du monde, mais un chef politique avec des références remontant à leur premier roi, David.

Dans la langue de l’époque, Barabbas ( bar = fil de, abba = père ou Dieu ) est un titre signifiant fils de Dieu. L’évangile de Mathieu au verset 27,16 utilise cette désignation sous sa forme complète : Jésus Barabbas. Les évangiles établissent que Jésus Barabbas était accusé d’être un rebelle Juif qui avait tué des gens au cours d’une insurrection. Ce n’était donc pas un criminel de droit commun mais un fanatique Juif. Les Musulmans d'aujourd’hui tiennent Jésus en très haute estime ; ils le voient comme un prophète condamné à être crucifié mais dont la place fut prise par un autre. Qui a donc été crucifié ?

Le Jésus de Marie prétendait être Messie parce qu’il venait de la lignée royale de David et qu’il été supposé né dans la ville de David, Bethléem. Cependant, comme on peut le lire dans les premiers versets du nouveau testament, cette ascendance est fondée sur la généalogie de Joseph, qui n'était pas le père de Jésus. S’il était le fils de Dieu, il ne pouvait être le Messie royal, mais il pouvait être le messie sacerdotal, sa mère étant connue comme parente de Jean le Baptiste qui était lévite. Il serait clair que ce ne fut pas lui qui mourut sur la croix. Le jeune frère de Jésus, Jacob (Ya’acov ou Jacques dans la version grecque) survécut à Jésus d’environ 30 ans et fut responsable de la préservation de ses enseignements authentiques.

Du fait de sa grande intelligence, Jésus savait depuis le commencement que le temps ne jouait pas en sa faveur. Il avait besoin d’accélérer la « fin des temps » et de se protéger de puissants ennemis qui avaient déjà abattu un pilier (Jean la Baptiste, son cousin). Il commença donc par désigner quelques gardes du corps attachés à sa personne en appliquant une stratégie de déplacement permanente. Ses 5 principaux gardiens étaient Jacques et Jean qu'il appelait les fils du tonnerre, Simon le Zélote et Simon le terroriste et enfin Judas le long couteau (Sicarius). Ce n’étaient pas des hommes de paix. Dans l’évangile de Luc 22,35-38, on nous dit que Jésus demande à ses apôtres de vendre leurs vêtements pour acheter des armes et ils répondent qu’ils possèdent déjà deux glaives.

Changer l’eau en vin est une expression commune. Dans le contexte de la Bible, cela devait signifier simplement que Jésus utilisa le baptême pour transformer des individus ordinaires en personnes prêtes à pénétrer dans le royaume des cieux en vue de la fin des temps. Dans la terminologie Qumrânienne, les profanes étaient l’eau alors que les initiés et les purifiés étaient le vin.

Lazare flancha lorsque les évènements commencèrent à se durcir vers la fin de la vie de Jésus. Il expliqua à ses sœurs Marie et Marthe qu’il avait peur et qu’il allait quitter le cercle interne. Quatre jours plus tard, Jésus arriva sur les lieux, il alla trouver Lazare et le persuada d’être courageux et de revenir parmi les « vivants ». Il a été démontré que ce type d’expression, « les vivants » et « les morts », était le terminologie utilisée à l’époque de Jésus pour définir ceux qui faisaient partie du cercle de la communauté et les autres. L’aspect sectaire de cette communauté est renforcé dans Luc 14,26 où Jésus demande explicitement à ses fidèles de haïr leur famille : « Si quelqu’un vient à moi sans haïr son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères, ses sœurs et jusqu’à sa propre vie, il ne peut être mon disciple ».

Jésus était connu sous le nom de Yehoshua Ben Joseph, c’est à dire Sauveur fils de Joseph. Il faut se rappeler que le nom de Jésus que nous prêtons au messie royal n’était pas son véritable nom. Le nom hébreu de Jacques était certainement J’acov mais il pouvait également être appelé sauveur, autrement dit Jésus. Ainsi, Jacques, le frère de Jésus était certainement Barabbas, fils de Dieu par opposition à Jésus roi des juifs, Yehoshua. Ce dernier fut donc déclaré coupable, fouetté, couronné d’épines et crucifié sur une croix en forme de T avec les mots « Rois des juifs » placé au dessus de sa tête. Il mourut inhabituellement vite pour une mise en croix. Mais s’il était bossu comme le signalait l’avis de recherche, cette rapidité peut s'expliquer. En effet, le processus de crucifixion rend la respiration difficile ; il est nécessaire de soulever sa poitrine continuellement pour expulser l'air des poumons. Avec un dos voûté ou bossu, ce mouvement devenait particulièrement ardu et la suffocation devait intervenir rapidement.

Sur deux Jésus, un seul est mort – Jacques est le survivant, le fils de Dieu et de Marie. Dans le sourate 4 : 156, le coran dit : « ils disent nous avons mis à mort le Messie, Jésus fils de Marie, l’apôtre de Dieu. Non ils ne l’ont pas tué, ils ne l’ont point crucifié ; un autre individu qui lui ressemblait lui fut substitué et ceux qui se disputaient à son sujet ont été eux mêmes dans le doute. »

LES SYMBOLES

etoile.jpg

La pyramide pointée vers le haut est un ancien symbole du pouvoir royal. Celle pointée vers le bas, incarne le pouvoir du prêtre. L’étoile dite de David incarne ces deux pyramides, forme complexe où l’on retrouve la marque du double messie : le messie sacerdotal ou tsedeq et le messie royal ou mishpat. En tant que tel, c’est le véritable signe de Jésus. Si on l’appelle l’étoile de David, ce n’est pas parce que David l’inventa, mais parce que Jésus l’utilisa et qu’il se positionna comme « l’étoile de David » prophétisée. Il est curieux de retrouver cette étoile sur des édifices construits par les chevaliers templiers. Si l’étoile de David est le symbole de la messianité unifiée de Jésus, elle devrait être la marque du christianisme, mais alors quel devrait être le symbole du judaïsme ? réponse : la croix ou plutôt le tau, qui est la marque de Yahvé et que les quénites portaient sur leur front avant que Moïse ne les rencontra dans le désert du Sinaï. La croix de type crucifix, utilisée par l’Eglise chrétienne est un ancien hiéroglyphe égyptien qui signifie « sauveur ». La forme du crucifix n’est pas un symbole de Jésus mais son nom lui même.

Le symbole du poisson, quant à lui, représente les pêcheurs et servait à désigner les premiers chrétiens.

poisson.jpg

Jacques le juste, qui devint le premier évêque (mebakker, en hébreu), se mit à porter une mitre comme insigne de sa charge : elle est venue d'Egypte avec Moïse. La mitre est le hiéroglyphe représentant « amen ». Est-il donc possible qu’à l’origine, il se soit agi de faire venir la bénédiction du dieu Amen sur la requête pour que celle-ci se réalise ?

LE CODE ET LES ECRITURES

Le terme « Midrash » correspond pratiquement au mot Exégèse et il peut être définit comme « l’étude et l’interprétation des écritures hébraïques dans le but de découvrir les vérités et instructions théologiques à suivre ». C’est un concept intimement lié à une technique de compréhension des événements appelée « pesher ». Celle-ci peut se traduire comme l’interprétation ou l’explication d’un verset des écritures dans lequel une formulation donnée serait censée avoir une signification concernant un événement présent ou futur. Les hébreux croyaient que les événements ne devaient rien au hasard, mais qu’ils se conformaient à des schémas types structurés pouvant être déchiffrés grâce à l’étude des écritures. Le terme parabole, quand à lui, peut se définir comme une explication imagée pouvant contenir soit une allégorie, soit une métaphore, tous les deux permettant de transmettre un enseignement plus profond dissimulé sous le récit apparent.

Dans de nombreux manuscrits, le docteur Hung Schonfield découvrit un code hébreu qu’il appela le code « atbash », utilisé pour crypter les noms d'individus. De manière stupéfiante, il s’aperçut que des mots clés utilisés tant par les templiers que par la franc-maçonnerie étaient eux-mêmes des codes atbash  qui une fois déchiffrés révélaient un sens caché. Par exemple, « Baphomet », après avoir appliqué le code atbash, laisse apparaître le terme Sophia, le mot grec pour sagesse.

A suivre...

Posté par Adriana Evangelizt

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