Explication intéressante de la fameuse marque de Caïn... portait-il déjà la marque de la Bête ?
Chapitre 8
« Et un enfant sorti de Sopanim qui fut morte et il s'assied sur le lit à ses côtés. Et Noé et Nir vinrent pour enterrer Sopanim et ils virent l'enfant assis aux côtés de Sopanim qui fut morte essuyant ses vêtements. Et Noé et Nir furent terrifiés puisque que l'enfant fut développé physiquement comme un enfant de trois ans. Et il parla avec ses lèvres et bénit le Seigneur. Et Noé et Nir le regardèrent et hélas, l'insigne de la prêtrise fut sur sa poitrine et il fut glorieux en apparence ».
On se souvient des jours antédiluviens comme étant le règne des dieux rois de la Liste des rois sumériens et comme l'époque des patriarches du livre de la Genèse. Les sources disent que les chefs qui formaient l'aristocratie gouvernante en ces jours furent de sang divin, c' est-à-dire, en partie sauriens.
Un deuxième groupe sur la Terre fut soit les Néfilim ou les Anounnaki qui descendirent vivre ici et se marièrent avec les femmes humaines.
Le troisième groupe à peupler la Terre fut l'espèce humaine, l'Homo sapiens, produit par les Anounnaki comme force de main-d'oeuvre pour faire toutes les tâches secondaires.
De ces trois groupes, ici nous nous concernons de celui des demi-dieux, les prêtres-rois de la période antédiluvienne qui sont connus dans l'Ancien Testament comme les descendants d'Adam et Ève.
DEUX LIGNÉES DE DESCENDANCE : CAÏN ET SETH
La lignée de descendances d'Adam et Ève fournie par le Livre de la Genèse pose un grand nombre de problèmes, puisqu'elle énumère non seulement les progénitures de Caïn mais inclut aussi la lignée parallèle de Seth. Elle duplique même quelques-uns des noms Caïnites et se rapproche de certains autres.
Par conséquent, il semble y avoir deux lignées traditionnelles séparées dérivant de la même source distante. Le centre originel de la dissémination fut manifestement en Mésopotamie. Bien que le nom Methusael soit clairement Akkadien (MUTU-SA-ILI ou « homme de dieu »), les autres noms n'ont rien de commun avec leurs antécédents mésopotamiens ; et il semble qu'avant qu'ils atteignent les Hébreux, ils traversèrent un centre de dissémination secondaire où ils furent transformés dans les registres et traditions locales.
Une troisième liste longtemps négligée est mentionnée dans la littérature apocryphe, vraisemblablement parce qu'elle ne correspond pas à la proposition dans la Genèse qu'Abraham hérita de la cape de prêtrise de Noé. Provenant du deuxième livre d'Hénok, cette liste de prêtres-rois se termine avec le patriarche Melchisédech qui est transporté au ciel juste avant du Déluge. Elle contient plusieurs noms étranges et peu familier qui ne paraissent pas ailleurs dans les Saintes Écritures. Aussi appelé l'Apocalypse slave d'Hénok, elle est datée au premier siècle après J.C. et décrit la montée d'Hénok au ciel, sa déification et son retour sur Terre. Elle est peut-être mieux connue pour sa lignée de succession qui évite Noé, la faisant passer à son frère Nir et ensuite à son fils, Melchisédech.
Dans la Genèse, la lignée de Caïn fut interrompue soudainement et sans doute ce changement fut en relation du meurtre de son frère Abel. Caïn fut exilé aux terres à l'est de l'Éden où, plus tard, il produisit un fils appelé Hénok qui, dit-on, construisit des villes, sept en fait, toutes nommées d'après ses fils. C'est peut-être une coïncidence que les Sumériens avaient aussi construit sept villes majeures avant le Déluge et cela suggère une source d'origine commune.
Sans événements précis, la Genèse continue la lignée de Caïn à travers Irad, Mehujael, Methusael et finit alors avec Lamek. Mais les Saintes Écritures laissèrent derrière un casse-tête, un mystérieux verset qui fut un énorme problème pour les érudits bibliques. Le verset qui termine la lignée de Caïn se lit comme suit :
« Lamek dit à ses femmes : Ada et Çilla, entendez ma voix, femmes de Lamek, écoutez ma parole : J'ai tué un homme pour une blessure, un enfant pour une meurtrissure. C'est que Caïn est vengé sept fois, mais Lamek, septante-sept fois ! »
La Genèse ne mentionne plus la lignée caïnite et commence abruptement la généalogie de Seth. Évidemment, le verset contient les indices de ce changement de politique. Si la lignée avait été condamnée, pourquoi ? La solution de ce verset énigmatique qui termine la lignée de Caïn est probablement le fait qu'il existe deux, même trois lignées de descendances parallèles.
LE MYSTÈRE DU MEURTRE CAÏN-ABEL
L'explication biblique du premier meurtre enregistré dans l'histoire de l'espèce humaine n'est pas convaincante puisque, selon la Genèse, Caïn tua Abel parce que son sacrifice fut snobé par le Seigneur en faveur de celui d'Abel. Logiquement, cela ne semble pas être une assez grande provocation pour que Caïn commette un fratricide. Cela semble être plus une fausse explication inventée par les anciens chroniqueurs. La réponse se trouve ailleurs dans les travaux apocryphes. Une version plus complète et sinistre du crime est fournie dans cet ancien document, La vie d'Adam et Ève.
Quand Ève conçut et porta Caïn, elle dit, selon la Genèse, « J'ai acquis un homme de par Yahvé ». Cependant, dans le cas d'Abel, le texte dit simplement, « Elle donna aussi le jour à Abel, frère de Caïn ». La genèse suggère donc, bien que de billet, que, des deux, la naissance de Caïn impliqua la divinité !
D'autres éclaircissements de la paternité de Caïn sont trouvés dans l' Apocalypse d'Adam, un document gnostique du premier siècle après J.C., où Adam révèle à son fils Seth que « le Seigneur qui nous créa, créa un fils pour lui et Ève, votre mère ».
Si la divinité fut le père de Caïn, et que Abel fut engendré par Adam, cela explique plusieurs des événements qui se sont produits par la suite. Si la divinité fut son père, Caïn serait semi-divin, en partie reptilien et plus comme Dieu. Cela expliquerait aussi sa nature violente et sanguinaire causant le meurtre de son frère Abel.
Au sujet de la naissance de Caïn, ce document observe qu'Ève « donna naissance à un fils et qu'il fut brillant et lumineux ». C'est une bonne description de la peau brillante et lumineuse des dieux reptiliens.
Une description exceptionnelle et quelque peu bizarre du crime de Caïn est aussi inclue dans ce document qui raconte des épisodes de la vie d 'Adam. Il y a deux versions--la version latine ou Vita et la version grec ou l'Apocalypse. Dans la version Vita, Ève a une vision où, « comme si le sang de notre fils Abel fut dans les mains de Caïn qui l'avalait dans sa bouche ». La version Apocalypse est encore plus dramatique, comme Ève dit à Adam :
« Mon Seigneur, j'ai vu un rêve hier soir, le sang de mon fils Amilabes, appelé Abel, entrant dans la bouche de Caïn son frère et il le buvait sans pitié... Et il n'est pas resté dans son estomac mais est sorti de sa bouche. Ils allèrent voir et trouvèrent Abel tué par Caïn ».
Le crime de Caïn fut, apparemment, non seulement le fratricide mais aussi manger la chair et boire le sang de son frère. Ce comportement paraît plus reptilien qu'humain, puisque Caïn fut engendré par la divinité, non comme son frère qui avait Adam comme père. Par conséquent, Caïn fut demi-saurien. C'est peut-être la raison principale pour terminer la lignée de Caïn et la remplacer par celle de Seth.
Qu'il ait été provoqué ou non, Caïn commit un crime sérieux, beaucoup plus sérieux qu'une simple erreur en offrant un sacrifice. Caïn, non seulement tua Abel mais mangea sa chair et bu son sang. Pour cette action barbare, Caïn fut banni à l'est à la terre de Nod. Et comme signe que Caïn fut sous la protection du Seigneur, il plaça une marque sur Caïn qui n'est pas décrite dans la Genèse.
Pour protéger sa progéniture semi-divine, la divinité avertie que « quiconque tue Caïn souffrira sept fois plus de vengeance ». Étrangement, cette même formulation est répétée dans le verset sur Lamek qui termine la lignée de Caïn et il est évident que les deux versets sont associés.
La divinité considère que Caïn est une mauvaise expérience ; mais puisque lui et sa progéniture sont semi-divins, il ne peut pas le détruire mais peut seulement l'exiler à une terre lointaine pour que ni lui et ses progénitures ne puissent plus faire aucun mal. On dit que Caïn épousa sa soeur Awan à la fin du Quatrième Jubilé ou vers la 200ème année de la vie d'Adam.
Les sources rabbiniques indiquent qu'il est mort en sa 930ème année, c 'est-à-dire, un an avant la mort d'Adam. Dans l'Apocryphe, Caïn fut tué accidentellement par Lamek, accomplissant ainsi la malédiction de la septième génération.
LA LIGNÉE DE SETH : ÉNOSH, QÉNÂN, MAHALALÉEL ET YÉRED
Après la mort d'Abel et le bannissement de Caïn, un troisième fils arrive sur la scène. Comme Abel, Seth naquit d'Adam et Ève. Il semble que la divinité décida de ne pas intervenir dans les affaires de l' homme et de lui permettre de produire sa propre progéniture. Seth épouse sa soeur et Hénok naît. Ainsi commence la lignée des patriarches qui continue sans interruption jusqu'au temps du Déluge. Les héros de l'Ancien Testament, souvent et fièrement, revendiquent leur descendance de cette lignée de Seth.
Qui furent alors ces patriarches ? Et puisqu'ils furent sans aucun doute des résidents de la Mésopotamie, quelles preuves y a-t-il dans les Saintes Écritures et autres écrits anciens pour les lier étroitement aux Anounnaki ou astronautes étrangers ?
Très peu d'information est disponible dans l'Ancien Testament au sujet des quatre premiers patriarches. Hénok signifie « mortel » ou « être humain » et selon les Saintes Écritures, il fut considéré comme le premier mortel ou humain. Selon les sources rabbiniques anciennes, c' est pendant cette époque que les « visages des hommes devinrent semblables à celles des singes ». Il semble que la contenance humaine soit devenue moins reptilienne et plus comme celle des mammifères ou des singes durant les années d'Hénok.
C'est peut-être pour cette raison que la génération d'Hénok n'est pas bien expliquée dans les sources anciennes. Le Haggadah l'appelle la génération du « conseil des impies » puisque les contemporains d'Hénok furent accusés de pratiquer « les arts de la divination et le contrôle des forces célestes ». L'homme commençait à démontrer un esprit d' indépendance et de curiosité intellectuelle qui, apparemment, ne plaisait pas ses maîtres reptiliens. [Note de l'éditeur : Je crois que la hiérarchie nibirouenne aurait préféré ne pas créer l'homme du tout. L'homme fut une créature nécessitée par leur avidité et leur paresse. Cependant, une fois créé, l'homme devait être civilisé et instruit. Donc, ces Dieux sauriens avaient cette responsabilité, que cela fasse leur affaire ou non. Aujourd'hui, je crois qu'ils espèrent être libres de nous à jamais et que nous ne soyons plus leur fardeau.]
Les jours d'Hénok furent aussi marqués par un grand nombre de tremblements de terre causant beaucoup de malheur. La sécheresse et la famine suivirent et alors il y eut la mort en masse de la population. Selon le troisième livre d'Hénok, en les jours d'Hénok, le Seigneur décida de retirer son « shekinah » ou vaisseau spatial de la région du jardin d'Éden et de retourner aux cieux.
Les sources sumériennes révèlent qu'en premier lieu, le dieu principal Anou résida à Ourouk, l'Érek de la Bible, mais, pour des raisons non mentionnées, il décida de retourner à sa demeure céleste, pour ne jamais y revenir sauf quelques occasions spéciales. Il est peut-être parti à cause des nombreux tremblements de terre et des mauvaises conditions au temps d'Hénok.
On dit qu'Hénok vécut 905 années. À l'âge de 90 ans, il engendra Qénân ou Caïnan, signifiant « métallurgiste » ou « artisan », dont très peu est connu des anciennes sources. Puisque la deuxième ville construite s'appela Badtibira ou « ville de transformation du métal », il semble y avoir une association dont la signification a été perdue.
Qénân vécu 910 ans et engendra Mahalaléel à l'âge de 70 ans. Mahalaléel ou « glorifiant le Seigneur » vécu 895 ans ; on ne sait rien à son sujet. À 65 ans, Yéred est né ou 460 ans après qu'Adam eut laissé l'Éden. Donc, Adam, Hénok, Qénân, Mahalaléel, aussi bien que Caïn, vivraient tous au temps de l'époque de Yéred.
Yéred fut le premier patriarche à ne pas épouser sa soeur. C'est peut-être symbolique de la fin d'une époque où le mariage entre frères et soeurs fut non seulement pardonné mais pratiqué comme coutume générale, comme par exemple, par la famille royale égyptienne. Selon le calcul des chiffres donnés dans la Genèse, les jours de Yéred seraient de l'an 460 AA à 1422 AA ( AA signifie, Après Adam, ou les années écoulées depuis la naissance d'Adam).
William W. Hallo, dans son article sur les villes antédiluviennes (Journal of Cuneiform Studies, Vol. 23, No. 3) suggère que Yéred ou Yered, signifie « celui d'Éridou ». Cela placerait Yéred à la ville d' Éridou, comme Hénok fut à Badtibira et Hénok à Sippar.
Les jours de Yéred sont d'une grande signification à l'histoire humaine puisque ce fut à cette époque que les Néfilim descendirent la première fois. Les Jubilés disent, « en ses jours, les anges du Seigneur, appelés des observateurs (Néfilim), descendirent sur la Terre pour enseigner aux fils de l'homme et exécuter le jugement et la droiture sur la Terre ». L'arrivée de ces astronautes pendant les jours de Yéred est aussi rapportée dans le premier Livre d'Hénok et est observée plus tard dans d'autres documents trouvés parmi les Manuscrits de la Mer Morte.
HÉNOK OU ENMEDURANNA, LE FAVORI DES DIEUX
Dans la Genèse, l'information au sujet d'Hénok est rare et on parle de lui très peu. Hénok avait 165 ans lorsque son fils Mathusalem est né. Deux cents ans plus tard, « Hénok marcha avec Dieu, puis il disparut, car Dieu l'enleva ». L'expression « marcha avec Dieu » fut souvent interprétée pour signifier qu'il monta au ciel pendant sa vie. Cette expression mystérieuse implique, néanmoins, l'existence d'une autre narration plus complète au sujet d'Hénok, perdue ou omise de l'Ancien Testament.
Hénok devint un héros dans la littérature apocalyptique juive et deux livres lui sont attribués, les livres « éthiopien » et « slave ». Son personnage fut très important dans le mouvement spirituel duquel provinrent les manuscrits de la Mer Morte. Son histoire et ses écrits sont narrés dans le livre des Jubilés et il joue un rôle actif dans l' Apocalypse hébraïque d'Hénok qui est attribuée à l'érudit palestinien Ismaèl.
La montée d'Hénok au ciel est en réalité juste le commencement d'une carrière fabuleuse pendant laquelle Hénok devint « divin » et principal chef des cieux, second seulement à la divinité. Après sa montée, il revint brièvement à sa famille pour enseigner à son fils Mathusalem la sagesse qu'il avait apprise et écrite au ciel.
Après un bref séjour ici, il retourna au vaisseau spatial pour six années de Jubilé. Pendant cette période, il faisait apparemment la navette entre le vaisseau spatial et la Terre. La littérature apocalyptique mentionne sa résidence à l'Éden et sur le mont Qatar, un endroit non identifié qui pourrait très bien être la ville de Sippar en Mésopotamie.
LA « MONTÉE » DE POUVOIR D'HÉNOK
L'élévation d'Hénok au statut de dieu est racontée dans l'Hénok slave. Hénok lui-même révèle l'expérience :
« Quand 165 ans furent complétés pour moi, j'ai engendré mon fils Mathusalem ; et, après cela, j'ai vécu 200 ans... Au jour assigné du premier mois, j'étais seul dans la maison ... Et je me suis couché sur le lit ... Alors, deux hommes énormes me sont apparus que je n'avais jamais vu sur la Terre ... Et ils furent debout à la tête de mon lit et m'appelèrent par mes noms ».
Hénok s'éveilla terrifié.
« Alors ces hommes me dirent, 'Soyez courageux Hénok, en vérité ne craignez pas, le dieu éternel nous a envoyés. Voyez, vous monterez avec nous au ciel aujourd'hui' ».
On lui dit de dire à ses fils et à sa maisonnée qu'il les quittait. Il fut alors amené « sur leurs ailes » aux cieux.
Hénok fit le tour du vaisseau spatial. À un certain endroit, il vit deux cents « anges » découragés et on lui dit qu'ils furent ceux qui descendirent, qui commirent plusieurs crimes et qui attendaient leur procès. On enleva les vêtements d'Hénok et il fut « oint » et, on lui donna des « vêtements de gloire », un symbolisme démontrant qu'il fut changé physiquement ressemblant maintenant aux dieux.
C'est exactement le contraire de ce qu'Adam avait vécu dans le jardin d'Éden ; il perdit son « nuage de gloire » et on lui donna ensuite des vêtements. Concernant ce qui arriva par la suite, il semble qu'à ce moment, Hénok reçut une forme de « divinité ». Alors, on lui donna un « stylo pour écrire à grande vitesse «et on lui lut des livres pendant qu'il prit des notes au sujet des merveilles et des secrets du ciel ».
Il resta dans le vaisseau spatial pendant soixante jours et fut alors retourné à la Terre pour trente jours pour partager sa connaissance à ses fils. On le prit alors et il retourna au vaisseau spatial où il devint l'investigateur principal pour l'enquête des crimes des Néfilim.
L'Hébreu du troisième livre d'Hénok contient le témoignage du rabbin Ismaèl, le célèbre érudit palestinien, où il rêve qu'il est emmené au ciel et rencontre Metatron qui semble être là l'être le plus puissant. « Pourquoi votre nom est-il comme celui de votre Créateur avec soixante-dix noms ? » demande Ismaèl. « Vous êtes plus grand que tous les princes, plus exalté que tous les anges, plus bien-aimé que tous les ministres ». Hénok répond, « Parce que je suis Hénok, fils de Yéred ». Il décrit alors comme on a fait de lui le chef des cieux sur les objections des anges.
Hénok devient le chef suppléant avec tous les titres et pouvoirs de cette fonction.
On lui donne les « noms divins », les soixante-dix noms qui confèrent le pouvoir du Ciel et de la Terre. Ces noms ressemblent aux Tablettes de la Destinée ou les MEs des dieux sumériens. Ils sont des formules d 'appareils qui donnent, au propriétaire, le contrôle absolu sur certains aspects et catégories de la vie. [Note de l'éditeur : Nous trouvons encore des ressemblances aux attributs des mystérieux « Archons de la destinée ».]
Hénok servit comme Metatron (du Grec « metathronos » ou « celui qui sert derrière le trône ») pendant six années de Jubilé ou 300 ans. Selon ce document, il revint s'établir à l'Éden ; et bien que peu soient connu des 300 ans qu'il servit comme Metatron, il faisait vraisemblablement la navette entre une ville de la Terre et le vaisseau spatial.
Posté par Adriana Evangelizt