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13 mai 2006 6 13 /05 /mai /2006 21:17

Le cabinet de réflexion ou la caverne alchimique

par Markos Drake

 

 

Le profane qui demande a être initié aux mystères de la Franc-Maçonnerie peut il imaginer ce qui l’attend et les épreuves que celui-ci devra surmonter afin de recevoir la lumière ? Non, mais son instinct lui laisse entrevoir un « changement », une « transmutation » qui se prépare au plus profond de lui. Le chemin qu’il vient de prendre c’est celui de l’Initiation, du latin Initiare qui veut dire commencer, car c’est bien une quête initiatique que celui-ci vient d’entreprendre. Pourquoi cherche t-il à être Initié ? Peut être que son inconscient, fil conducteur de la plupart de ses actions, au travers d’un imperceptible murmure, que seul celui qui écoute avec son cœur peut espérer entendre, lui a révélé le but ultime de l’ « Homme » : la PURIFICATION. En effet, l’Initiation c’est la purification, purification de l’ « Homme Cosmique » qui après le drame de la Chute édénique, entraînant sa propre destruction, cherche à se régénérer afin de réintégrer le paradis perdu. La première épreuve que le profane vivra pour entrer en Franc-Maçonnerie sera celle du cabinet de réflexion, nom étrange qui cache une pratique bien plus ancienne que la Maçonnerie elle-même. Le cabinet de réflexion est à mon sens, une des épreuves la plus importante sur le chemin de l’Initiation, car c’est en son sein qu’il faudra « procéder à une sorte de décrassement intellectuel et moral ayant pour but de débarrasser l’esprit de tout ce qui empêche la lumière de parvenir jusqu’à lui » (1)

Le cabinet de réflexion utilise le langage universel de la symbolique, afin de faire vivre au profane sa première épreuve, qui est celle de la terre. Il est écrit quelque part dans la bible « tu es sorti nu du ventre de ta mère et tu retourneras nu dans le ventre de la terre. Tu n’emporteras rien en mourant, tu n’emporteras pas tes richesses avec toi », et en effet, avant que le profane ne rentre dans le cabinet de réflexion, on lui demande de ce défaire de son argent et de déposer tous ses objets métalliques. A l’intérieur du cabinet de réflexion, le profane découvrira plusieurs symboles évoquant la mort, puis le postulant est invité à rédiger son « testament philosophique » car à cette instant précis il va mourir à sa vie profane, mais avant de renaître et de vivre pleinement sa seconde naissance, il se doit de faire un bilan et de répondre par écrit à trois questions :

Quels sont les devoirs de l’homme envers lui-même ?

Quels sont les devoirs de l’homme envers Dieu ?

Quels sont les devoirs de l’homme envers l’humanité ?

Dans cette étroit cabinet de réflexion, aux murs peints en noir, dont la seule source lumineuse se trouve être une simple bougie dont la flamme vacille lentement, le profane, une fois que le bandeau lui est retiré, se trouve rapidement confronté aux nombreux symboles et inscriptions qui l’entourent. Puis peu à peu, il découvre un autre symbole, dont aucun support matériel ne peut exprimer la présence et qui pourtant est le plus important des symboles : le SILENCE. Il est dit que « quand se taisent les bruyantes passions du monde, le cherchant peut enfin écouter », ainsi le profane est invité à faire le silence, afin qu’il puisse écouter au plus profond de lui-même les paroles de sagesse que lui inspire son cœur. Le cabinet de réflexion est comme une caverne alchimique où se déroule un rite de purification, une matrice dans laquelle notre être renaîtra purifié, c’est un lieu où, si nous y passions plusieurs jours, nous pourrions y atteindre l’illumination intérieure. Lorsque le profane aura fait le silence sur les passions du monde qui l’entoure, et que par un savant contrôle de sa respiration il aura atteint une tranquille méditation, alors il commencera à devenir sensible aux messages qui l’entourent. Face à lui, une inscription énigmatique l’invite à un voyage au plus profond de lui-même, et sans même le savoir il s’y prêtera, guidé dans sa démarche par le rythme du silence. V.I.T.R.I.O.L, énigme indéchiffrable, dont le profane ne comprendra intellectuellement le sens que bien plus tard, mais à cet instant précis, lorsqu’il se trouve dans l’œuf primordial, caverne alchimique aux pouvoirs de transmutations infinie, son inconscient n’aura aucune peine a comprendre cette inscription dont la valeur alchimique ne fait plus aucun doute. Les sept initiales, V.I.T.R.I.O.L, sont la révélation de l’opération du Grand Œuvre, aide-mémoire indispensable au profane, comme à l’Initié, car il révèle le processus alchimique de la transmutation de l’être comme des métaux. V.I.T.R.I.O.L, septénaire mystérieux dont le sens dévoilé révèle une parfaite connaissance des processus qui mène à l’éveil, « Visita Interiora Terrae, Rectificando Invenies Occultum Lapidem » : « Visite l’intérieur de la terre, et en rectifiant tu trouveras la pierre cachée ». Cette pierre que le profane doit trouver n’est autre que la pierre philosophale des alchimistes, et celle-ci se trouve au plus profond de chacun d’entre nous, elle ne se dévoile qu’à ceux qui par un travail intérieur sincère, sont arrivés au parfait équilibre pour ne faire qu’un : "Omnia ab uno, omnia ad unum", "Tout procède de l’Unité, tout tend vers l’Unité". Le ternaire alchimique est également présent, car indispensable au processus alchimique de formation de la pierre philosophale. Le Sel, le Souffre, et le Mercure exprime ensemble le véritable équilibre, auquel le profane doit tendre afin de se régénérer. Le Souffre représente l’énergie expansive, principe actif masculin et le Mercure représente l’énergie attractive, principe passif féminin, tandis que le Sel qui résulte de l’action du Soufre sur le Mercure, est neutre, résulta des deux principes, il est donc l’agent équilibrant, comme l’exprime avec perfection son symbole, un cercle divisé en deux par une diagonale qui le traverse, image parfaite de l’équilibre. Le sablier qui se trouve posé devant le profane, est un attribut de Saturne, il symbolise le temps, il représente sur le plan matériel, donc terrestre, le temps qui s’écoule et qu’on ne peut inexorablement pas arrêter, chaque grain de sable qui tombe nous rapprochant irréversiblement du jour de notre mort. Le sablier représente encore autre chose, qui pour le profane n’est peut être pas tout de suite perceptible, ce qui n’enlève rien à sa force évocatoire, car le sablier qui a tout pouvoir sur le plan terrestre ( matériel ), n’en a aucun sur le plan astral ou cosmique. Ce qui signifie, qu’une fois l’homme libéré des chaînes matérielles du temps terrestre, il pourra enfin réintégrer le temps initial, c’est-à-dire celui du commencement, de la création, l’instant primordial d’avant la chute, là ou le péché et les servitudes n’existaient pas. Pour que ce rite de vie et de mort puisse être efficace et aboutir à la purification du profane, il lui faut encore un puissant symbole, un « témoin » psychique permettant de relier les vivants aux morts, un lien puissant exprimant la chaîne ininterrompue entre les Maîtres passés à l’Orient Eternel et le profane qui aspire à reprendre le flambeau en devenant Franc-Maçon à son tour. Ce « témoin » psychique est un véritable crâne humain posé près du profane, et devant lui se trouve écrit ces mots : « J’étais ce que tu es, tu seras ce que je suis ! », des mots lourds de significations. Ce crâne, réceptacle des forces supérieures, transmettra alors un dernier message au profane, comme le faisaient autre fois les têtes de morts parlantes qui enseignaient aux vivants. Elle lui dira : Ce que tu vas voir, je l’ai déjà vu ; ce que tu vas vivre, je l’ai déjà vécu ; ce que tu vas entendre, je l’ai déjà entendu, je suis « la réalité telle qu’elle apparaît dépouillée de son décor sensible ; la vérité brutale, privée du voile des illusions », (O. Wirth) alors courage et bonne route ! Mais dans cette demeure alchimique, le crâne possède encore un autre secret, qui n’apparaît qu’au moment délicat de la sublimation alchimique, c’est celui du Caput mortem, lorsqu’il faut couper la tête, Caput mortem, afin de voir apparaître le cygne blanc, thème alchimique de la putréfaction. Mourir pour renaître à nouveau, c’est une loi universelle : "En vérité, je vous le dis, si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul ; mais, s’il meurt, il porte beaucoup de fruits" (Jean 12 : 24). Puis le profane, qui peu à peu sortira de sa profonde méditation, lèvera les yeux vers le Coq, symbole solaire qui lui annoncera la fin de sa nuit éternelle, et le triomphe prochain de la lumière sur les ténèbres.

1)Oswald Wirth- L’apprenti. (2)Bible

Sources : Le site de Marcos Drake

Posté par Adriana Evangelizt

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21 janvier 2006 6 21 /01 /janvier /2006 15:48

Bien que cet article pourrait sembler sortir du contexte Hermétiste, il ne l'est pas. Il tend à démontrer que la Franc-Maçonnerie originelle s'est dévoyée au fil du temps. Pour diverses raisons. D'abord parce qu'elle est infiltrée depuis de nombreuses années déjà par des éléments qui ne sont en son sein que pour l'espionner et pour lui nuire. Nous entendons par "nuire" la discréditer en la corrompant. Et en se laissant corrompre, elle corrompt à son tour toutes les strates de notre société. Il n'est pas un vain mot de dire que tout notre gouvernement, hélas, se trouve entièrement vicié à cause de cela. Et que c'est fait sciemment, ajouterons-nous...

Bernard Méry : Les nouveaux parrains

Selon maître Bernard Méry, la justice française est gangrénée par la franc-maçonnerie

Peut-on être à la fois juge et franc-maçon ? Ce débat a été relancé début 1998 en Grande-Bretagne par Jack Straw, alors ministre de la Justice du gouvernement Blair, puis en France par Jean-Marie Le Pen dès le 17 février 98 alors que personne n'avait osé poser cette question sacrilège depuis près d'un siècle. Le dernier a l'avoir fait, un avocat du barreau de Paris, fut radié en 1911. Ses héritiers voudraient obtenir sa réhabilitation mais l'Ordre des avocats bloque à ce jour la restitution du dossier. C'est dire si le sujet est tabou dans notre pays depuis que la IIIe République maçonnique et anticléricale a installé ses hommes et ses réseaux aux principaux postes d'influence et de commandement.

Bernard Méry, avocat dynamique et courageux, auteur de deux livres truffés de révélations saisissantes, Justice, franc-maçonnerie, corruption (août 1998, Spot éditions) et Les Nouveaux parrains (août 1999, La Liberté d'expression; l'un et l'autre disponibles dans toutes les librairies), est actuellement persécuté pour avoir mis en cause directement l'appartenance de certains magistrats à des Loges. C'est ainsi qu'il est aujourd'hui purement et simplement menacé de radiation par le Conseil de l'Ordre des avocats, qui l'auditionnera le 17 septembre.

J. B.

RIVAROL : Comment expliquezvous l'actuelle discrétion du procureur Eric de Montgolfier, après ses tonitruantes déclarations sur la maçonnerie à Nice ? D'aucuns affirment que loin d'être le chevalier blanc antimaçon, ce juge très médiatique jouerait en fait le jeu du Grand Orient, lequel a tout intérêt à "charger" la Grande Loge nationale de France pour tenter de faire accroire que les affaires de corruption ne touchent que la GLNF. Qu'en pensez-vous ?

Bernard MÉRY : Je ne crois pas à cette thèse. Il faut savoir que celui qui parle de la franc-maçonnerie en termes négatifs est quelqu'un qu'il faut discréditer par tous les moyens. On fera ainsi allusion à de supposés antécédents maçonniques de Montgolfier, mais c'est là une confusion volontairement entretenue. Nous ne disons pas, Montgolfier et moi, qu'être franc-maçon est quelque chose d'ignoble ou d'insupportable ; nous affirmons simplement qu'il ne faut pas mélanger les genres et que la notion de serment de fraternité entre les maçons s'oppose à la notion de service public, laquelle est incompatible avec un système de préférence pour un petit groupe.

L'ALIBI DE L'ANTISÉMITISME

Or, à partir du moment où l'on met le doigt sur cette incompatibilité des serments, on fait sauter tout un réseau de fraternité. Lequel est alors prêt à tout pour vous déprécier. Ainsi l'une des méthodes favorites des maçons, et singulièrement du Grand Orient, pour disqualifier un adversaire, c'est de dire qu'il est antisémite. Comment procède-t-on pour ce faire ? C'est très simple : on fait appel à Vichy et aux lois antisémites et antimaçonnes, les unes et les autres promulguées à trois semaines d'intervalle en juillet 1940. La maçonnerie se protège derrière ces lois antisémites, ce qui lui permet d'être intouchable. Et si jamais un téméraire ose la critiquer, c'est l'infamante accusation d'antisémitisme qui est aussitôt lancée sans vergogne. Ce qui est très facile pour plusieurs raisons. D'abord les sigles et les formes matériels du culte franc-maçon rappellent par beaucoup d'analogies des sigles hébraïques (par exemple le triangle avec l'oeil central symbolise Dieu, Moïse et les tables de la Loi). D'autre part, il y a des obédiences telle le B'nai B'rith qui sont spécialement réservées aux israélites. Par ailleurs, il est vrai que le pourcentage de juifs francs-maçons (surtout membres du Grand Orient) est très élevé. Enfin, les maçons évoquent sans cesse le fameux Protocols des sages de Sion pour stigmatiser les prétendues arrière-pensées, évidemment épouvantables, de ceux qui osent s'attaquer à eux.

L'objectif est toujours le même : il s'agit par l'amalgame et par la diffamation de détruire, de casser, de museler ceux qui critiquent la maçonnerie ; notez bien qu'il ne s'agit pas même d'être antimaçon, mais d'émettre simplement un jugement dépréciatif.

PUISSANTS RÉSEAUX FRATERNELS

R.: Comment expliquez-vous une telle hargne à votre égard ?

B.M. : Le moyen de défense imparable du franc-maçon est le suivant : aussi longtemps que vous n'apporterez pas la preuve que je le suis, vous me diffamez en disant que je le suis. Ce qui est un jeu extrêmement facile, puisque la maçonnerie est la seule association en France où il soit impossible en raison du secret d'apporter la preuve formelle que quelqu'un en est membre. On suppute qu'un tel est franc-maçon et celui qui est supputé l'être pourra vous attaquer en diffamation et vous réclamer de lourds dommages et intérêts au motif que la preuve formelle n'aura pas été apportée. C'est sur ce principe-là qu'on essaie de m'éliminer, moi qui suis le premier en France à avoir soulevé le lièvre.

Le problème principal auquel on se heurte aujourd'hui, c'est précisément l'alliance des juges et des avocats au travers de réseaux fraternels. Ce qui est une violation caractérisée de leurs serments ; en effet, le juge fait serment de servir la République, donc tous les citoyens et l'avocat fait serment d'indépendance au regard du juge mais aussi de l'appartenance. Or, à Paris surtout, on ne dira jamais assez la puissance de réseaux qui relient les auxiliaires de justice, les avocats et les magistrats, si bien que les affaires sont traitées à l'intérieur du réseau et non pas devant les tribunaux, chacun s'engageant à défendre l'autre.

LES AFFAIRES SCHWEITZER ET DSK

Les exemples sont légion dans l'actualité récente : lorsqu'une chambre d'instruction déclare un non-lieu dans le dossier des victimes du sang contaminé, il n'est pas inintéressant de se demander si l'accusé, Schweitzer, ancien directeur de cabinet de Fabius et actuel PDG de Renault, n'aurait pas bénéficié d'une certaine complaisance pour son appartenance supposée à un réseau fraternel. Même chose pour l'affaire DSK où vous conviendrez comme moi qu'il est quand même étrange d'assister à la soudaine relaxe de l'ancien ministre des Finances alors que les charges contre lui semblaient accablantes.

Dès qu'une décision importante est prise, surtout si elle est à consonance étatique, il faut faire preuve de la plus grande suspicion, car on n'est jamais assuré qu'il y ait véritablement indépendance. Or, comme j'ai mis en cause nommément un certain nombre de magistrats, ce sacrilège ne m'est pas pardonné. Et l'on veut m'abattre d'autant plus rapidement que je suis sur le point de gagner une importante affaire mettant en cause tout un réseau fraternel dans la région de Pau.

R. : Des politiques ont mis en cause récemment les tribunaux de commerce, juridictions au sein desquelles régneraient en maître corruption, gabegie et incompétence. Quel est votre point de vue ?

B.M. : Je crains qu'il n'y ait là beaucoup d'hypocrisie. Car on attaque seulement les tribunaux de commerce composés de juges non professionnels en oubliant de dire que toutes les cours d'appel sont, elles, composées de magistrats professionnels et que, s'il y a effectivement corruption, elle concerne tout autant les cours d'appel que les tribunaux de commerce. En fait, l'objectif de toute cette campagne est de professionnaliser ces derniers pour pouvoir mieux les contrôler.

J'ai d'ailleurs rencontré les socialistes François Colcombet et Arnaud Montebourg, très en pointe dans l'offensive contre les tribunaux de commerce. L¹un et l'autre étant francs-maçons, j'ai immédiatement compris que leur combat n'était pas le mien : ils ne veulent surtout pas que l'on critique les frères ; leur combat contre la corruption est donc de la poudre aux yeux. Ni plus ni moins.

LA PLAIE DU CARRIÉRISME

R. : Il semble que depuis sa réélection plébiscitaire il ne soit plus possible de critiquer Chirac comme en témoignent les poursuites disciplinaires contre un avocat de Thionville. Que pensez-vous de cette incroyable affaire ?

B.M. : La vérité, c'est qu'il est aujourd'hui devenu quasiment impossible d'exercer normalement sa profession d'avocat, tant la liberté d'expression et d'action se réduit comme peau de chagrin. Par carriérisme, par volonté de se faire bien voir de leurs supérieurs, des magistrats sont prêts à toutes les infamies. Pour avoir défendu un automobiliste qui, lors d'un contrôle routier, avait manifesté son agacement envers la maréchaussée (" vous feriez mieux de mettre Chirac en prison "), Me Delrez avait fait valoir que le le 1er mai des centaines de milliers de citoyens avaient défilé en traitant le président sortant d "'escroc" et qu'il fallait donc relaxer son client. Le président du tribunal de grande instance de Thionville ne l'a pas entendu de cette oreille, puisqu'il a immédiatement transmis une plainte contre cet avocat au procureur général, lequel s'est empressé de saisir l'Ordre des avocats pour une éventuelle radiation. Fort heureusement, le bâtonnier de l'Ordre a finalement décidé, par lettre du 21 juin au procureur, de ne prendre aucune sanction disciplinaire contre Me Deirez. Mais voyez dans quelle ambiance il nous faut travailler et quelles chaussetrapes il faut sans cesse éviter. Lajustice est vraiment sinistrée en France. Et ce n'est pas la réforme Perben qui chanaera quoi nue ce soit pour l'essentiel, le
nouveau gouvernement prétendument de droite comptant dans ses rangs comme parmi ses soutiens de nombreux francs-maçons qui sauront sauvegarder leurs intérêts, avouables ou non.

Sources :  SITE DE MARC JUTIER

Posté par Adriana Evangelizt

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