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18 août 2007 6 18 /08 /août /2007 14:21

 Suite de la démonstration que la Franc-Maçonnerie s'inspire de la tradition juive issue elle-même de la tradition Egyptienne et dont les Lévites créèrent la première société "secrète", dont s'inspira l'Eglise Catholique Romaine... tout un poème !

 

 

La Maçonnerie

considérée comme le résultat

des religions Egyptienne, Juive et Chrétienne

par le Fr.°. Reghellini de Shio

1842

"Il existe au fond de nos coeurs un désir insatiable de connaître la vérité"

12ème partie

11ème partie

10ème partie

9ème partie

  1ère partie

CHAPITRE VII.

3ème partie

Hiram, dans les Kadosch de tous les rites (remarquons que cet Ordre n'est pas, selon les plus savans Maçons, celui des Juifs et de l'antiquité), est cru l'allégorie du martyre de Jacques Molay et de la destruction des Templiers ; opinion adoptée par le régime de la Stricte- Observance, par les rites écossais des Templiers, et même par celui qui s'est dernièrement reproduit sur l'horizon sous la dénomination de l'Ordre du Temple.

La légende des trois assassins d'Hiram varie de la même manière ; chez les uns, ce fut
Judas, Caïphe, Pilate; chez d'autres, Luther, Calvin, Zuingler, ou Abiram, Romvel, Grevelot, ou Giblon, Giblas, Giblos, ou Jubela, Jubelum , Jubelos (C'est toujours Philippe le Bel qui figure sous ce nom) ; tandis que le Kadosch , la Stricte-Observance et l'Ordre du Temple ont Squin de Florian, Neffodei et l'inconnu dans un point; et dans un autre, on leur suppose avoir Philippe-le-Bel, Bertrand de Cotte et l'inconnu, ou le Grand-Maître de Malte, qui firent périr les Templiers.

Les
Rose-Croix de Kilwinning nomment les trois assassins Cain, Haken et Heni ; tandis que les Adon-Hiramites les appellent Hobben, Austersfuth, Schterke.

Chez les nations
où un pouvoir absolu ou illégitime tient lieu de gouvernement paternel et représentatif, souvent l'allégorie d'Hiram et de ses assassins s'est prêtée à la commémoration, peut-être irrégulière, de l'assassinat de la liberté civile , occasionné par l'avarice, la superstition, le despotisme.

Les Ordres des Maîtres Elus, Kadosch, Templiers, etc. etc., envisagés par quelques cabinets comme dangereux, par suite de préventions mal fondées, furent
accusés de vouloir, par leur allégorie, venger la destruction des Chevaliers Templiers dans leurs assassins ; mais que tous les politiques se désabusent, l'Ordre maçonnique est bien plus ancien que ces Chevaliers, qui n'y furent admis qu'au 13.me siècle, et desquels on adopta seulement quelques systèmes dans quelque Ordre dont l'institution est moderne. Par tout ce qu'on vient de dire précédemment, les allégories du Maître, de l'Elu, du Kadosch, quoi qu'en disent les légendes, ne tiennent, par les cahiers qu'on peut examiner, qu'à des faits physiques et moraux, liés à d'anciennes institutions : elles ne se rapportent aucunement à ces points historiques et politiques. Mais quand cela serait, que tous ces visionnaires se rassurent; car, dis-je, quand même l'allégorie d'Hiram se rapporterait à la politique, il est évident qu'alors elle serait bien plus favorable que nuisible à l'autorité royale, même despotique et absolue ; car elle commande la vengeance du meurtre d'un héros égorgé par trois rebelles ; et dans le rite moderne français, elle le commande au nom du plus juste des Rois juifs.

Quant
aux Lévites, outre les allégories personnelles que présentaient leurs mystères, ils en avaient aussi de matérielles; ce que nous conservons dans tous les rites, comme la pierre cubique, sous laquelle est caché le précieux Delta, qui porte gravé le nom du grand innommable Jéhovah.

Les faces de cette pierre cubique nous servent, comme les anciennes pierres monumentales, à nous rappeler les paroles sacrées de nos mystères et de nos Ordres. Nous en donnons une ici (Pl.VII) qui sert pour le rite Ec.'. A.'. et Ac.'. en 33 degrés; on y trouve l'essence de bien des rites. Les mots sacrés de passe sont, autant que possible, rectifiés d'après les meilleurs indices de M. Delaunay.

Outre l'allégorie de la pierre cubique,
les Lévites avaient aussi celle de la pierre angulaire, placée à l'angle du Temple mystique de Salomon, qui devait servir de modèle à tout parfait ouvrier, et qui, mystiquement dans nos travaux, est composée d'amour fraternel, de secours, de vérité, vertus nécessaires à tout initié qui veut parvenir aux degrés de perfection.

De pareilles allégories appartiennent aussi à d'autres dogmes et religions. Les Musulmans ont la pierre angulaire placée à l'angle du Temple de Caaba. appelée
Barktan, objet de leur profonde vénération. Des pierres mystiques sont encore en vénération, de nos jours, dans Jérusalem, sur le Moria, sur le Golgotha, revêtues de titres très augustes par la légende sacrée des Chrétiens.

A Padoue,
on baise avec vénération une pierre noire dans la chapelle de Saint-Antoine (67) ; une pareille se trouve à Venise, dans l'église de saint Marc ; à Rome, dans celle de saint Pierre, ainsi que dans différentes villes , les chrétiens baisent des colonnes ou des pierres incrustées dans les murailles ; ils imitent en cela les Musulmans, qui croiraient n'avoir pas satisfait au pèlerinage de la Mecque, s'ils n'avaient pas baisé plusieurs fois la même pierre angulaire.

D'après Suidas , les anciens Arabes adoraient, par des sacrifices, des libations, des fêtes, une pierre noire, haute de six pieds, large de deux, qui était sur une base dorée,
l'idole de Thusaré. Les Indiens, qui donnèrent à l'Asie une grande partie de leurs opinions religieuses, adorent des pierres qui ne deviennent sacrées et ne sont réputées être le siège de Brama, de Wichnou, de Schivan, qu'après les prières et cérémonies des Brames.

L
'allégorie de la pierre angulaire, et celle de la pierre de Pierre, sont les deux allégories les plus usitées par les orateurs de Rome moderne.

 

CHAPITRE VIII.

 


La restauration des Israélites, après la captivité de Babylone, se rattache à difFérens grades et rites maçonniques. — Les mystères maçonniques passent des Juifs aux Chrétiens. — Opinions des autres cultes introduites chez les Juifs, entr'autres, la Trinité des Perses et celle de Platon. — Différentes explications de la Trinité chez différentes nations ; rapport de cette croyance avec les mystères maçonniques du jour. — Jésus n'a jamais enseigné le dogme de la Trinité.


Les nouvelles institutions et les mystères des Lévites se durent conserver à Babylone pendant les soixante- dix ans que les Israélites y furent, esclaves, et jusqu'au temps où Cyrus (68), devenu Roi des Babyloniens, accorda la liberté aux Israélites. Cyrus, en sage politique, pour s'attacher ce peuple, protégea son retour en Judée, mit à sa tête Zorobabel, et lui fit remettre les vases sacrés et autres symboles qu'il avait dans le Temple, et qu'on lui avait pris lors de la destruction de la ville de Jérusalem.

Les Juifs, à leur rentrée dans la Judée, se disputèrent entr'eux sur la forme réelle de la réédification du Temple saint ; leurs discussions furent terminées par Darius, que l'Ecriture Sainte fait Roi de Perse.

Ce fait est commémoré dans le degré
du Chevalier d'Orient, dans celui du Prince de Jérusalem et autres ; il a rapport à ce qui est renfermé dans les chap. 5 et 6 du premier livre d'Esdras.

Les
Lévites ayant été troublés par les ennemis de leur dogme dans leurs travaux, introduisirent à ces époques reculées l'usage des épées ou des Rayons, dont nous nous servons dans certaines cérémonies. On trouve cet usage établi au ch. 18 dans Néhémia, qui fait partie de l'histoire d'Esdras.

v. 17. « Ceux qui bâtissaient la muraille et ceux qui chargeaient les porte-faix, travaillaient
chacun d'une main, et de l'autre ils tenaient l'épée. v. 18. » Car chacun de ceux qui bâtissaient était ceint sur ses reins d'une épée, et ils bâtissaient ainsi équipés. »

Ces différens passages doivent être pris
dans un sens allégorique ; ils se rapportent à la nouvelle institution apportée de Babylone, et qui trouvait alors dans la Judée de violens adversaires ; car il est impossible d'appliquer ces versets à des ouvriers de pratique.

Plusieurs Ordres et rites maçonniques commémorent ces deux versets, entr'autres l'Ecossais, dans son
Hiérophante, et plus particulièrement le rite français, dans son troisième Ordre, le Chevalier d'Orient, où tous les Frères, dans les travaux, tiennent le glaive de la main droite, et de la gauche la truelle.

Après la réédification de Jérusalem et du Temple saint,
les Lévites, comme tout le porte à croire, ajoutèrent aux Ordres et mystères pratiqués dans Babylone, des cérémonies nouvelles, et des commémorations qui leur rappelaient les bontés de Cyrus, leur délivrance, leur nouvelle régénération, sous la protection d'une nouvelle constitution théocratique, qui avait fait pendant bien des années leur bonheur, et qui n'était dans le fait que les institutions apportées d'Egypte par Moïse, qui les avait empruntées aux prêtres égyptiens.

L'unique but que se proposèrent
les prêtres hébreux dans les institutions qu'ils donnèrent au peuple pendant la captivité de Babylone, fut, dans le cas où il eût recouvré sa liberté, de rétablir leur domination et le conseil créé par Moïse, composé du Grand-Prêtre et des prêtres qui formaient un tribunal suprême, où se jugeaient en dernier ressort les grandes affaires de la nation juive.

Par la suite,
les Lévites retournés en Judée, après leur esclavage du temps des Machabées, portèrent à soixante et douze le nombre des prêtres-juges qui composaient ce conseil, qui prit le titre de grand Sanhédrin.

Ce corps qui jouissait
d'une autorité sans bornes, subsista dans Jérusalem jusqu'à sa ruine par les Romains. Les Juifs furent presque toujours soumis à la théocratie, et les Rois qu'ils eurent, n'étaient que des simulacres de l'autorité civile. On peut dire avec assurance que, malgré la guerre, les invasions et l'esclavage de ce peuple, l'autorité resta toujours dans les mains du Grand-Sacrificateur et de ses prêtres.

L'histoire de la restauration des Juifs après l'esclavage de Babylone, se rattache dans nos travaux aux Ch
de l'Epée, et Ecos de plusieurs rites; dans ces grades, le Vén est Cyrus, et le néophyte Zorobabel. Cette histoire se trouve aussi rappelée au grade Prin de Jérusalem, dans lequel le Vén est Zorobabel, et toutes les instructions sont relatives à ce fait; ce qu'on trouve aussi dans le Ch d'Orqui fait partie de l'Ec réformé, dont les instructions et les mots de passe sont relatifs à cette commémoration.

Ces mêmes commémorations
des fastes israélitiques se trouvent dans le M
Par , dans l'Elu de neuf, dans l'Elu de quinze et autres ordres et rites, dont les mystères tendent au recouvrement des libertés sacerdotales, ravies par des lois arbitraires, et au rétablissement des Israélites dans leur patrie après la captivité de Babylone.

Dans ces commémorations et mystères nouveaux,
les Lévites durent marquer une reconnaissance éternelle à Salomon, Cyrus et Zorobabel, qui se trouvent placés comme chefs symboliques de toutes ces institutions, où se conserve toujours pour dogme le culte de Jéhovah avec le bon et le mauvais principe.

Tout Frère peut se convaincre, par cet exposé, que les allégories, qui font la base d'une grande partie des grades mac
, sont la commémoration de l'histoire des Juifs, de leurs douze patriarches, qui précédèrent Moïse en Egypte, de leur départ de ce royaume, de leur pèlerinage dans le désert, de l'établissement de leur dogme par Moïse, de ses mystères, du secret qui les environnait, de leurs tribus, de leur gouvernement patriarchal, de leur entrée en Judée, terre promise par Moïse au nom de Dieu, de l'établissement de leurs Rois, de Salomon, de la faveur qu'il accorda aux Lévites et Sacrificateurs, de l'édification du Temple saint, de la grandeur de Salomon, de sa justice et de sa science, et de l'abus que firent du pouvoir les successeurs de Salomon (ce qui amena la destruction de Jérusalem et du Temple), de leur captivité dans Babylone, de leur délivrance par Cyrus, de leur nouveau rétablissement sous Zorobabel en Judée, et de la réédification de leur Temple.

Notre opinion se trouve appuyée par la Bibliothèque du Maçon, ou General Ahiman Rezon, Baltimore , 1817, dont nous donnerons des extraits en son temps. On y lit que
les fastes bibliques et actes des apôtres font tout l'édifice maçonnique; notre opinion se trouve aussi appuyée par celle de M. de Plane qui, dans
son apologie des Templiers, a démontré que les Juifs nous transmirent le dogme mac , quoique d'autres veuillent que les mystères mac, tels qu'on les pratique (69) à présent, aient pris naissance avec le christianisme , et que son dogme soit la religion de Jésus dans toute sa pureté ; car dans toutes ses instructions sont recommandées les vertus des anciens Chrétiens, et même une partie de ses mystères est fondée ou sur la religion chrétienne, ou sur quelques faits de l'histoire ecclésiastique.

 

Ce partage d'opinions nous oblige de mettre en évidence les preuves sur lesquelles elles s'appuient, afin que l'on sache si l'on doit croire que les Frères Maçons soient les vrais prêtres de Jésus et de sa lumière.

Le docteur Dodd, dans Smith's Works, a osé dire
qu'il ne voyait dans les prêtres que des Maçons ignorans qui faisaient, comme bien des initiés, des cérémonies qu'ils n'entendaient pas, et que le corps du clergé n'était qu'une branche bâtarde et rejetée des augustes mystères de la Mac adonhiramite. Et dans la Maçonnerie écossaise, comparée avec les trois professions, Orient de Londres, 1788, 1ere partie, pag. 81, à la note, il est dit : « Au moment où s'impriment ces Essais, on m'annonce qu'il vient de paraître un ouvrage très-curieux, où l'on a pour objet de prouver que les prêtres d'aujourd'hui ne sont absolument qu'une secte rejetée du sein de l'antique Maçonnerie. » Nous verrons par la suite sur quoi se fonde cette opinion.

S'il faut en croire la Bible,
les mystères des Juifs se sont conservés trente-deux siècles depuis la création du monde, c'est-à-dire, jusqu'au commencement de l'ère chrétienne. On peut aisément se convaincre qu'alors ils existaient encore ; car les premiers Chrétiens empruntèrent des Lévites, l'allégorie de la construction du Temple de Salomon ; elle figure continuellement dans les actes des premiers Chrétiens Juifs qui adaptèrent cette allégorie au système de leur nouvelle religion, en substituant au Temple de Salomon, que les Maçons du jour conservaient, la fiction d'une Eglise à élever au vrai Dieu.

Les premiers Chrétiens qui professaient la loi mosaïque avec celle de Jésus , s'appelaient entr'eux des Maçons. Saint Mathieu, ch. XVI, v. 16, 17, 18, dit : « Tu es heureux, Simon, fils de Jonas, et je dis que
sur cette pierre je bâtirai mon Eglise, et les portes de l'enfer ne prévaudront jamais contr'elle, et je te donnerai la clé du royaume des cieux. » Saint Pierre, dans sa première Epître, va plus loin, quand il dit : « Je vais poser à Sion la principale pierre de l'angle, pierre choisie qui fait l'honneur principal de l'édifice ; quiconque croira en elle, ne sera pas confondu ».


Dernièrement, par un excès d'adulation mal entendue, l'abbé Bernier a voulu faire des Papes autant de Maçons. Peut-être a-t-il pris cette idée de M. l'abbé Grégoire, évêque de Blois, dans son ouvrage Sur l'Illustration de la Société des Frères-Hospitaliers. Voici ce que dit ce M. Bernier : « Les Papes sont des Pontifes (Faiseurs de ponts) et des Architectes spirituels qui bâtissent des ponts, à l'aide desquels les catholiques romains montent tout droit en paradis. » Nous trouverons les premiers Pères de l'Eglise à la tête des Maçons.

Treizième partie

Notes

(61) Dans le Tombeau de Jacques Molay, 2me. édit. de Paris, libelle dirigé et contre les Frères Maçons et contre les Jésuites, on lit que ces religieux avaient adopté des formules entièrement Maçon.'. Il rappelle à ce sujet l'ouvrage du capitaine Smith, où l'on voit que dans leurs grades, les initiales et les mots de passe sont les mêmes. Il fait connaître les crimes nombreux de cette société en analysant les décrets que tous les Rois de la terre ont rendus contre eux , nomme leurs ouvrages qui prêchent les doctrines qui ont enfanté ces crimes, et compte les révoltes, les conspirations et les guerres civiles qui leur sont dues. Ce fut en 1600 qu'ils se rendirent les apologistes du régicide, et peu d'années après l'assassinat du prince d'Orange. En 1586, après la prise d'Anvers par le duc de Parme, les Jésuites recueillirent précieusement les corps des scélérats qui avaient commis le crime, et les exposèrent à la vénération des fidèles. (Voyez la petite Histoire de la Belgique, par M.r Collin ; Bruxelles , 1826.

(62) Toutes les institutions religieuses eurent dans l'antiquité leur préparation aux initiations. Les prêtres catholiques ont les jeûnes, etc., et les jésuites des préparations prises des prêtres égyptiens.

(63) Tous ces noms ont servi aux rêveries des Maçons cabalistes et des Rosé-Croix alchimistes.

(64) Nous avons été surpris de trouver cette assertion dans le Tuileur de l'Ec.'., par M. Delaunay., dans sa réimpression de 1821, à sa nouvelle conclusion, page 253.

(65) Plusieurs momies ont la tête ceinte de guirlandes de feuilles d'Acacia ou du Sount ; les inities égyptiens, après leur mort, en étaient couronnés. Ainsi l'on retrouve toujours des analogies avec les Juifs et les Chrétiens.

(66) On trouvera à la suite, qu'une infinité de Saints Evêques furent Grands-Maîtres des Maçons.

(67)  Cette chapelle, d'une architecture très élégante, ornée d'excellens bas-reliefs des plus célèbres artistes du 16e siècle, comme Sansovino et autres , porte sur le fronton une inscription tout-à-fait maçonnique : elle contient les doctrines des premiers Chrétiens, Esséniens, Gnosticiens : Qaerite et invenietis, petite et accipïeti, pulsate et aperietur vobis.

68  Cyrus, par les conseils de son père Cambyse, apprit les sciences des prêtres et des augures avec la divination ; il fut initié dans les anciens mystères des philosophes ; il devait regarder comme bon tout culte à l'Auteur de la nature. Xénophon, Cyropédie, liv. I , 25 et 27.

69 Bien de rites maçon.-, se croient être les successeurs des Templiers.

Posté par Adriana Evangelizt

 

 

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