Voilà quelques extraits du livre de Jean Prieur, Hitler médium de Satan. Hitler dont on ne sait pratiquement rien -à part qu'il peignait des aquarelles- jusqu'à ce qu'il est atteint la trentaine. A noter le parallèle avec la jeunesse du Galiléen qui est inconnu au profane jusqu'à ce qu'il commence à enseigner sa doctrine. Que nous approcherons plus de 28 ans que de trente mais la trentaine quand même.
Il faut bien savoir que les prophètes du Mal ont quelques points communs avec les prophètes du Bien. Hormis, les zones obscures de leur jeunesse, Hitler était plutôt ascète, il ne buvait pas d'alcool, ne mangeait pas de viande, il était végétarien, aimait les enfants et les animaux. Et bien que souvent entouré, c'était quelqu'un de solitaire voire de taciturne. Son âme oeuvrait pour l'Ombre.
Ieschoua était aussi ascète bien qu'il buvait du vin... par contre pour la nourriture, il disait que l'important n'était pas ce qui entrait dans la bouche mais ce qui en sortait. Car les paroles mauvaises viennent du coeur. Il aimait les enfants pour leur pureté et son Enseignement -contrairement à celui de Moïse- proscrivait les sacrifices des animaux pour la rémission des péchés. Il savait que de tuer un animal ne rendait pas meilleure ni plus blanche la conscience de l'homme et que c'était sur soi-même qu'il fallait sacrifier... "travailler", en s'améliorant et en ne recommençant pas les mêmes erreurs.
Hitler possédait une grande âme noire. J'entends par grande âme qui venait d'un plan supérieur -comme celle de Ieschoua- mais du côté Obscur. On peut même penser que lors d'une cérémonie occulte, il avait été choisi pour être le réceptacle de cette âme démoniaque afin d'oeuvrer pour le Maître de l'Ombre. Or, l'énergie que dégagent ces âmes puissantes -tant les blanches que les noires- est parfois difficilement supportable pour le corps humain qui les abrite. Si Ieschoua se retirait souvent loin du monde, c'était souvent pour masquer cela. L'énergie que dégageait son âme était tellement forte qu'il en irradiait. Ainsi ses apôtres furent-ils témoins de ce fait une fois au moins... Nous citons...
"Six jours après, Jésus prit avec lui Pierre, Jacques, et Jean, son frère, et il les conduisit à l'écart sur une haute montagne.
Il fut transfiguré devant eux; son visage resplendit comme le soleil, et ses vêtements devinrent blancs comme la lumière." (Mat.17/1-2)
Lorsque se produit se fait de transfiguration ou de radiance, l'âme émet une énergie maximale pour entrer en contact avec d'autres âmes supérieures... ce dont furent encore témoin les apôtres...
"Et voici, Moïse et Elie leur apparurent, s'entretenant avec lui." A ce moment-là, une des rares fois de leur vie, les disciples étaient "voyants",(Mar.17/3) ils voyaient l'invisible et s'ils "voyaient" c'est que le Galiléen voulaient qu'ils voient. Il voulait les tester. N'oublions pas que c'était des gens frustres qui n'entendaient rien aux choses supranaturelles. A tel point que n'ayant rien compris, ils disent :
"Pierre, prenant la parole, dit à Jésus: Seigneur, il est bon que nous soyons ici; si tu le veux, je dresserai ici trois tentes, une pour toi, une pour Moïse, et une pour Elie." (Mat.17/4)
Pour eux, ce qu'ils ont vu est réel, ils voient deux personnages... mais en réalité, ce sont des âmes lumineuses d'une grande densité et intensité avec une aura incroyable qui les entoure... ,
"Comme il parlait encore, une nuée lumineuse les couvrit. Et voici, une voix fit entendre de la nuée ces paroles: Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection: écoutez-le!" (Mat.17/5)
Il est clair et net que cela a même du les mettre dans une sorte d'état hypnotique qui leur permettaient même d'entendre les sons venus du cosmique.. sans les empêcher de paniquer...
"Lorsqu'ils entendirent cette voix, les disciples tombèrent sur leur face, et furent saisis d'une grande frayeur." (Mat.17/6)
Une fois le contact accompli, le Galiléen est déchargé du trop plein d'énergie et redevient égal à lui-même... ils leur parlent et les rassure...
"Mais Jésus, s'approchant, les toucha, et dit: Levez-vous, n'ayez pas peur!
Ils levèrent les yeux, et ne virent que Jésus seul." (Mat.17/7-8)
Il est bien sûr seul mais néanmoins, ils leur demandent de ne pas raconter cette vision...
"Comme ils descendaient de la montagne, Jésus leur donna cet ordre: Ne parlez à personne de cette vision, jusqu'à ce que le Fils de l'homme soit ressuscité des morts." (Mar.17/9)
Or il se passait la même chose pour Hitler qui était loin d'avoir la même maîtrise que le Galiléen dans la canalisation de l'énergie, nous citons un témoin...
"Un homme qui le fréquentait quotidiennement m'a rapporté l'anecdote suivante. hitler se réveille une nuit en poussant des cris stridents et convulsifs (...). Il tremble de peur, à en faire vibrer son lit (...) Debout dans sa chambre, il se balançait d'avant en arrière, hagard, il suffoquait : "C'était lui. C'était lui. Il est là !" Il avait les lèvres bleues. La sueur lui coulait sur le visage. Tout d'un coup, il se mit à dévider des chiffres, des mots étranges et des bouts de phrases entièrement vides de sens. C'était horrible. Ses mots n'étaient pas de l'allemand, ses phrases bizarrement construites. Puis il redevint plus calme, les lèvres seules continuaient à remuer. On lui fit un massage et on lui offrit à boire. Puis subitement, il explosa .:
-Là, là ! Dans le coin qui est-ce ?
Il piétinait et hurlait à sa façon habituelle. On lui démontra qu'il n'y avait rien d'extraordinaire dans la pièce. Il retrouva alors progressivement son calme." Rauschning, The voice of destruction, page 256. Passage tiré du livre Le code caché de votre destin de James Hillman.
L'âme d'Hitler était en connexion directe avec une entité démoniaque comme celle de Ieschoua l'était avec des âmes extrêmement lumineuses.
Je vous parlerai un peu plus de l'âme d'Hitler en posant les autres chapitres du médium de Satan...
Hitler, médium de Satan
de Jean Prieur
Gott mit mir !… Dieu est avec moi !…
Adolf Hitler est né le 20 avril 1899 en Autriche.
Jeunesse difficile à Vienne ; pour subsister, il peint des aquarelles puis il fréquente des sociétés occultes dont les membres ne cesseront de le soutenir tout au long de son parcours.
Comment expliquer qu'il soit monté si vite et si haut ?
De quelle force était-il investie pour rassurer tous les pouvoirs existants : de la Wehrmacht aux grands patrons, des ouvriers aux intellectuels ?
Comment expliquer cet incroyable destin, cette fascination qu'il exerçait sur les foules, cette chance insolente qui lui permit d'échapper aux obus de 14-18 et, plus tard, aux nombreux attentats organisés par la résistance allemande ? Existe-il une providence satanique ?
Pour Jean Prieur, les forces en présence lors de la seconde guerre mondiale se situaient autant dans le ciel métaphysique que dans celui des bombardiers. Car l'Histoire n'est que l'autre nom de l'éternelle bataille des Fils des Ténèbres contre les Fils de la Lumière...
Introduction…
En préparant un livre précédent consacré à la prémonition sous ses diverses formes, j'avais été frappé par le songe que fit, en 1917, sur le front français, le soldat Adolf Hitler… du 16ème régiment List d'infanterie bavaroise. Je commençai donc par en faire une relation que j'intitulai : « Cette nuit-là, la Providence était distraite. » Puis, m'apercevant que, pendant cette campagne de France, il fut trois fois arraché de façon prodigieuse à une mort qui aurait arrangé le monde, à commencer par les Allemands eux-mêmes, je voulus inclure ces nouvelles interventions du monde invisible. J'obtins bientôt tout un chapitre qui ne cessait de prendre de l'ampleur. Quand il eut atteint soixante pages dactylographiées, je réalisai qu'il était le noyau d'un futur livre.
Un autre fait me troublait : la venue du Messie de Satan avait été annoncée, dès 1824, et de la façon la plus claire par Anne-Catherine Emmerich.
[…]
…j'avais lu ce texte, il y a bien longtemps, en allemand, et dans une édition de la première moitié du XIXe siècle. Le règne de Hitler n'était donc pas une bévue du Destin, un incident de parcours dans la longue traversée de l'Histoire, mais le résultat de "décrets divins" pour parler comme la célèbre stigmatisée. Tout semblait programmé sur l'ordinateur céleste, et cela est terrifiant.
Si Hitler n'avait pas été miraculeusement épargné à quatre reprises pendant la guerre 1914-1918, le devenir de l'Europe et du monde, était changé du tout au tout.
[…]
« L'uchronie » c'est l'histoire refaite logiquement selon le principe qui veut que les mêmes causes produisent les mêmes effets. Par exemple : si le petit Adolf était mort à l'âge de trois ans, on entend d'ici :
– « Armer Kleiner Engel ! » Pauvre petit Ange ! et on aurait ajouté :
– « Le bon Dieu n'est pas juste !… »
[…]
Si en 1917, le valeureux caporal Hitler avait été tué avec ses guten Kameraden par l'obus qui éclata sur leur tranchée, le monde n'aurait jamais su à quoi il avait échappé…
Si, en 1929, le tribun avait sauté sur la bombe placée sous son podium du Sportpalast, [En 1929, une des premières tentatives d'assassinat contre Hitler fut fomentée non par un juif, non par un Tchèque ou un Polonais, mais par un S.S. déçu dont l'histoire n'a retenu ni le nom, ni les vrais motifs. Cet homme avait placé une bombe sous le podium du Sportpalast où le militant Hitler devait prendre la parole. Au moment où il s'apprêtait à mettre en route le système d'horlogerie qu'il avait bricolé, il fut pris d'une envie pressante… Il courut aux toilettes et s'y enferma. Que se passa-t-il ? La serrure se coinça-t-elle toute seule ? Toujours est-il que, lorsqu'il réussit à sortir du piège, l'orateur était en train de quitter la tribune…] le Parti lui aurait fait un superbe enterrement avec des drapeaux, des aigles, des torches et des discours : « Dors en paix, Adolf » aurait proclamé Röhm. Nous poursuivrons sans toi le combat, nous suivrons à jamais ton exemple admirable… » On serait allé prendre un pot d'adieu dans une brasserie de Munich ; on aurait répété : « Ach ! das war ein Kerl, unser Adolf ! » (Ah ! Qu'est-ce qu'il était bien notre Adolf !)
Si l'attentat du 20 juillet 1944 avait réussi, cette fois, finies les hypothèses. On sait ce qui se serait passé : les Alliés, comme l'Allemagne, faisaient l'économie d'un million de morts. Le malheur a voulu que le colonel Brandt, gêné par le porte-documents du colonel Stauffenberg, le déplaçât de quelques centimètres : Lucifer était sauvé.
Cette protection efficace et mystérieuse qui l'accompagna jusqu'à la fin, il en était conscient, il en était très fier, il l'appelait : "Providence" et l'invoquait à tout bout de champ.
Cette providence personnelle, cette chance incroyable avait quelque chose de scandaleux, cette impunité du cynisme et du mal avait de quoi perturber les âmes simples… et mêmes les autres.
[…]
1944 : le bon Dieu ne sait pas le tort qu'il se fait avec cette sacrée guerre ! » Que de fois j'ai entendu : « S'ils sont vainqueurs, je ne mettrai plus les pieds dans une église… »
Ou le bon Dieu ne sait pas ; ou le bon Dieu sait… on peut sortir du dilemme en invoquant la liberté humaine que Dieu s'est engagé à respecter. Il laisse aller, il permet que le mal s'accomplisse jusqu'à un certain point. Alors, brusquement saturé d'horreurs, écœuré par la férocité humaine, Il dit :
– « Stop ! » Il le dit juste avant que Hitler ne dispose de la bombe atomique…
[…]
Lire la suite... 2ème partie
Posté par Adriana Evangelizt